Mannes à linge, vêtements, sous-vêtements,… le linge à la maison, ce n’est que faire et refaire. La lessive, cela ne s’arrête jamais et cela peut vite devenir une véritable corvée lorsque les enfants se multiplient. Le lave-linge peut utiliser beaucoup d’eau de ville et finir par couter cher sur la facture. L’eau de pluie se présente alors comme une véritable solution. Zoom.
La filtration d’eau pluviale pour le lave-linge
A l’heure actuelle, la lessive dans une ménage consomme 50 litres d’eau par cycle de lavage. Un chiffre qui peut facilement se multiplier par 2 ou 3 selon les jours et la taille des familles. En effet, dans un ménage la lessive fait partie du quotidien et cela peut impacter aussi bien le quotidien que les factures.
Dans ce contexte, l’eau de pluie peut être une bonne solution économique et écologique.
La filtration d’eau pluviale peut être idéale pour réaliser des économies. En effet, l’eau de pluie est une ressource inépuisable et gratuite. Une fois récupérée et filtrée, cette eau peut être utilisée pour le lave linge.
Une façon économique et écologique de laver vos vêtements !
Laver à l’eau de pluie : que des avantages !
L’eau de pluie offre de nombreux avantages dans un ménage. Outre le côté économique et écologique, l’eau de pluie pour le lave-linge offre d’autres avantages comme une eau peu calcaire. Voici, un avantage conséquent.
Dans une machine à laver, le calcaire peut facilement s’incruster, laisser des dépôts, laisser des traces sur vos vêtements, abimer les tuyaux et réduire l’efficacité de la machine qu’il faudra certainement finir changer au bout de quelques années. Le calcaire, un véritable calvaire pour votre ménage.
L’eau de pluie est peu calcaire, elle permet d’entretenir vos machines et ainsi leur offrir une plus longue durée de vie.
De plus pour les textiles, l’eau de pluie est excellente et permet de conserver longtemps la couleurs de vos vêtements et les tissus en état.
L’eau de pluie est idéale pour faire votre lessive efficacement, sans dépenser trop d’argent et de façon écologique. Alors, on s’y met ?
